PRISMA

Le RCD est créer des assises du MCB les 9 et 10 février 1989. Les membres fondateurs du RCD étaient les principaux animateurs du MCB. 

Héritier et prolongement naturel du MCB, le RCD a eu un apport considérable dans l’avancée des luttes pour les questions de la langue et de le culture amazigh. Plusieurs avancées lui sont imputables parce qu’il a su rassembler, en particulier, la jeunesse, autour d’une vision, en mettant la question de l’identité au coeur de son action politique. Comment ? en pariant sur les élites dont il fit la colonne de sa direction autant que de sa base ; en attirant vers lui les intellectuels et les classes moyennes francophones. Ces couches cultivées qui craignaient pour leur avenir et leur place dans une société disputée par le pouvoir d’Etat et l’islamisme, avaient été séduites par les thèmes neufs que le parti soumettait au débat : la laïcité, la refondation de l’Etat, la réforme de l’école «sinistrée», la revisitation de l’Histoire de l’Algérie, de l’Antiquité à la Révolution de 1954, avaient touché la cible dans ce qu’elle avait de plus réactif.

Il participe aux élections municipales de 1990 et boycotte les législatives de 1991. Parmi les principaux animateurs de l’appel à l’arrêt du processus electoral. Il était à l’initiative, avec d’autres acteurs comme le PAGS, de la création du comité de sauvegarde de l’Algérie et a applaudi le coût d’Etat de janvier 1992. Il se range parmi les partis clivants, «éradicateurs» et «anti-théocratiques» qui attaquent le FLN dissident, le FFS et les autres signataires du Contrat de Rome. 

Il participe aux élections présidentiel de 1995 et des législatives de 1997. Boycotte l’élection présidentielle anticipée de 1999.  Il accepte de siéger dans la coalition gouvernementale de Ben Bitour en décembre 2000. Il quitte aussitôt le gouvernement en 2002 suite au déclenchement des événements du printemps noir en Kabylie en avril 2001. 

Participe aux élections législatives de 2002, boycotte celle de 2007, de 2012 et participe à celle 2017. 

Saïd Sadi signe, personnellement, le tournant de l’histoire du parti en abandonnant sa présidence au 4e congrès de mars 2012, après 23 ans de règne Il libérait la voie de la direction à Mohcine Belabbès, député d’Alger, un militant pondéré, arabophone. 

Il été à l’origine avec d’autres acteurs politiques dans la fondation, en 2014, de la CNLTD (Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique) – la fédération des oppositions alliée au Pôle du changement de Ali Benflis dans le cadre de l’Icso (l’Instance de coordination et de suivi de l’opposition) hostile à la révision de la Constitution et au 4e mandat du Président Abdelaziz Bouteflika. 

تأسست الحركة الديمقراطية والاجتماعية على يد شريف الهاشمي في عام 1998. في عام 2005 ، بعد وفاة زعيمها شريف الهاشمي ، تم تعيين حسين علي أميناً عاماً بالنيابة من قبل قيادة الحركة وتولى تمثيل حركة الديمقراطيين الاشتراكيين

في نهاية ماي 2013 ،ينظم الحزب مؤتمرا في الجزائر. انتخب أعضاء هذه الهيئة حميد فرحي كمنسق وطني. كما انتخب المكتب الوطني ياسين تيجويا أمينا عاما. تم تعيين فتحي غراس ، من جانبه ، كمتحدث باسم الحزب

في جوان 2011، و بإجماع من مختلف الاتجاهات تم إعادة بناء الحركة

في نهاية ماي 2013 ، تنظم الحركة الديمقراطية الاشتراكية مؤتمرا في الجزائر العاصمة ، في مقر الحزب. في 24 ماي، تم إنهاء الأعمال. قدمت اللجنة التحضيرية للمؤتمر التقرير الأخلاقي ، ومشروع القرار السياسي ، ومشروع النظام الأساسي للحزب

قرر الحزب الخروج عن ممارسة المقاطعة التقليدية للانتخابات خلال اتخاذ قرار بالمشاركة في الانتخابات التي جرت في 4 ماي 2017

في ماي 2018 ، تم ترشيح فتحي غارس ، المتحدث باسم الحركة الديمقراطية الاشتراكية ، كمرشح للانتخابات الرئاسية 2019