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موشور الأفكار

Akufi nt Tikta
Ordre Social algérien

Introduction

La place de la femme dans l’ordre social et les structures sociales a été historiquement marquée par des inégalités, des discriminations et des violences. Dans de nombreuses cultures et sociétés, les femmes ont été considérées comme inférieures aux hommes et ont été soumises à des normes et des rôles de genre restrictifs.

Cependant, au cours des dernières décennies, il y a eu des progrès significatifs dans la lutte contre la discrimination et la promotion de l’égalité des sexes. De nombreuses sociétés ont adopté des lois et des politiques pour protéger les droits des femmes et promouvoir leur participation à tous les aspects de la vie sociale, économique et politique.

En ce qui concerne la femme algérienne, la société algérienne a connu une évolution significative dans la place de la femme. Avant l’indépendance de l’Algérie en 1962, les femmes étaient largement exclues de la vie publique et leur rôle était principalement limité à celui de mère et de femme au foyer.

Cependant, après l’indépendance, les femmes ont commencé à participer davantage à la vie publique, notamment dans les domaines de l’éducation et de la politique. En 1984, l’Algérie a adopté une loi sur la famille qui a amélioré le statut juridique des femmes et a accordé des droits égaux aux femmes dans le domaine du mariage, du divorce et de la garde des enfants.

Malgré ces progrès, la société algérienne reste marquée par des normes et des pratiques patriarcales qui limitent encore la participation des femmes dans certains domaines, tels que la politique et l’économie. Les femmes font également face à des taux élevés de violence domestique et de harcèlement sexuel.

Cependant, il y a une prise de conscience croissante des droits des femmes en Algérie et des efforts sont en cours pour promouvoir l’égalité des sexes et mettre fin à la violence à l’égard des femmes. Des organisations de femmes ont été créées pour défendre les droits des femmes et promouvoir leur participation à tous les aspects de la vie sociale et économique de l’Algérie.

La femme et les transformations sociales

La place de la femme dans la société a longtemps été négligée, marginalisée et parfois même opprimée. Cependant, au cours des dernières décennies, les femmes ont progressivement gagné en visibilité et ont été reconnues pour leur rôle central dans les transformations sociales. Les femmes ont été des actrices majeures de nombreux mouvements sociaux, qu’il s’agisse de la lutte pour l’égalité des droits, de la protection de l’environnement ou encore de la promotion de la paix et de la justice sociale.

En effet, la participation active des femmes dans ces mouvements a souvent été essentielle pour leur succès. Les femmes ont apporté une perspective unique et ont contribué à briser les stéréotypes et les normes sociales restrictives qui ont limité leur participation à la vie publique. Elles ont également apporté leur voix et leur expérience pour influencer les politiques publiques et les décisions importantes qui ont un impact sur la société dans son ensemble.

De plus, les femmes ont souvent été des agents de changement dans leur propre communauté, en promouvant l’éducation des filles, en améliorant la santé et le bien-être des femmes et de leur famille, et en contribuant à la croissance économique et au développement durable. Les femmes ont également été des modèles pour les jeunes filles, les inspirant à croire en elles-mêmes et à leur capacité à faire une différence dans le monde.

Dans ce contexte, la contribution de la femme aux transformations sociales est cruciale. La promotion de l’égalité des sexes et de la participation des femmes dans tous les aspects de la vie sociale est essentielle pour réaliser des transformations sociales positives et pour créer une société plus égalitaire et plus juste pour tous les membres de la communauté.

 

La femme algérienne et les transformations sociales

 

En Algérie, les femmes ont joué un rôle crucial dans les transformations sociales qui ont eu lieu au cours des dernières décennies. La société algérienne a connu une transition de la tradition à la modernité, avec des changements significatifs dans les structures sociales et économiques, et les femmes ont été des actrices majeures de ce processus de changement.

L’Algérie est un pays qui a connu une forte influence de la religion et de la tradition, ce qui a longtemps limité la participation des femmes dans la vie publique et professionnelle. Cependant, les femmes algériennes ont travaillé sans relâche pour briser ces barrières et ont contribué à la transformation de la société en faveur de l’égalité des sexes et de la sécularisation.

Le mouvement pour l’indépendance de l’Algérie a été un catalyseur pour le rôle accru des femmes dans la société. Les femmes ont joué un rôle important dans la lutte pour la liberté et la dignité nationales, ce qui a renforcé leur position dans la société. Cela a été suivi par des réformes importantes dans les années 1980, qui ont permis aux femmes de participer davantage à la vie publique et professionnelle.

Les femmes algériennes ont également été des actrices clés dans le processus de sécularisation en Algérie. Le pays a connu une forte influence de l’islam, qui a été utilisé comme un moyen de contrôle social et politique. Cependant, les femmes ont été à l’avant-garde du mouvement pour la séparation de la religion et de l’État, et ont contribué à la promotion d’une société plus laïque et plus tolérante.

Les femmes algériennes ont également été des actrices importantes dans le processus de modernisation de la société. Elles ont joué un rôle important dans le développement économique, en créant des entreprises et en contribuant à la croissance économique du pays. Elles ont également été des modèles pour les jeunes filles algériennes, inspirant et encourageant les futures générations à poursuivre leur éducation et à participer activement à la vie publique.

Enfin, les femmes algériennes ont été des actrices clés dans la promotion des droits de l’homme et de la démocratie. Elles ont contribué à la promotion de la transparence et de la responsabilité dans la vie politique algérienne, en demandant des élections libres et équitables et en participant activement aux mouvements pour la démocratie.

En somme, les femmes algériennes ont joué un rôle crucial dans les transformations sociales en Algérie, en passant de la tradition à la modernité et en contribuant à la promotion de la sécularisation et de l’égalité des sexes. Leur contribution a été essentielle pour la création d’une société plus égalitaire et plus juste en Algérie.

Facteurs qui concourent au changement du rôle de la femme

De nombreux indicateurs montrent le changement du rôle de la femme en Algérie, aussi bien dans la famille que dans la société en général. Ce changement est favorisé par plusieurs facteurs, notamment l’accès à l’éducation et aux connaissances, qui a été encouragé par l’État algérien depuis l’indépendance. Le système éducatif a créé les conditions pour le développement de la mixité dans l’espace public et a contribué à encourager les femmes à travailler et à s’approprier cet espace public. Ainsi, la femme algérienne a pu accéder à de nouveaux domaines tels que l’éducation, la politique, les affaires et la science, tout en jouant un rôle actif dans la transformation de la société.

Ainsi, le recul du confinement des femmes dans l’espace privé est un changement fondamental dans l’organisation sociale en Algérie favorisé par la scolarisation massive des filles, de la prolongation des études, l’autonomie financière par le travail et l’élévation progressive de l’âge au mariage et par suite, le passage à un nouveau système matrimonial à mariage tardif qui engendre la baisse de la fécondité et la soustraction à l’autorité de la famille et devenir un acteur social et politique à pars entière. 

  • Changement du système nuptial. 

Le système nuptial en Algérie a connu une transformation significative au cours des dernières décennies, avec le recul de l’âge moyen au premier mariage des femmes. Cette évolution est due à plusieurs facteurs, notamment l’augmentation de l’accès à l’éducation et au marché du travail, ainsi que l’émergence de nouvelles stratégies matrimoniales.

En effet, le mariage est de moins en moins considéré comme la seule option pour les femmes algériennes, qui privilégient souvent une carrière professionnelle et l’accomplissement de soi avant de se marier. Le recul de l’âge moyen au premier mariage des femmes est ainsi passé de moins de 18 ans en 1962 à 30 ans en 2020. Cette tendance reflète l’émancipation des femmes algériennes, qui ont désormais leur mot à dire dans les choix de leur époux et de l’âge auquel elles fondent une famille, et qui ont ainsi un plus grand contrôle sur leur fécondité.

Cette transformation du système nuptial en Algérie est également due à l’émergence de nouvelles stratégies matrimoniales, telles que les mariages tardifs, les mariages mixtes, ou encore les mariages de raison. Ces nouvelles formes de mariages ont permis aux femmes de sortir des normes traditionnelles qui leur étaient imposées, et leur ont ainsi offert de nouvelles perspectives de vie et de développement personnel.

De plus, le recul de l’âge moyen au premier mariage des femmes a également un impact positif sur la société algérienne dans son ensemble. En effet, il permet aux femmes de s’engager plus longtemps dans leur carrière professionnelle, ce qui contribue à l’amélioration de leur position économique et sociale. Cette évolution peut également favoriser l’égalité des sexes, en réduisant les écarts entre les hommes et les femmes en termes de pouvoir économique et social.

En somme, le recul de l’âge moyen au premier mariage des femmes en Algérie est un signe de l’émancipation des femmes et de leur volonté de prendre en main leur vie et leur avenir. Cette évolution reflète la transformation de la société algérienne vers une société plus moderne et égalitaire, où les femmes jouent un rôle de plus en plus important dans les structures sociales et économiques.

  • Contrôle difficile de la sexualité féminine : 

Un système de mariage précoce a comme fondement le contrôle direct de la sexualité féminine par la parentèle. Au moment du mariage, il y a un transfert de ce contrôle de la famille de la femme au mari et à sa famille, plus particulièrement à la mère du mari dans une société communautaire ou plusieurs générations cohabitent. Avec une période de célibat de plus en plus longue, le contrôle de la sexualité féminine n’est plus possible dans ses formes anciennes. On conçoit déjà difficilement que des femmes puissent choisir elles mêmes leur époux; quant aux rapports sexuels librement consentis en dehors du mariage, ils sont inadmissibles du point de vue sociétale, mais aussi religieux.

Le mariage tardif et un célibat de longue durée nécessitent un aménagement des formes dans lesquelles doit s’exercer cette tutelle familiale. Cette surveillance est de plus en plus difficile à exercer (anonymat des grandes villes, présence des femmes dans l’espace public, développement de la mixité, etc.). Elle suppose, entre autre, soit de passer à des contrôles indirects de la sexualité féminine (exigence de la virginité au mariage par exemple au lieu d’une surveillance permanente sur les jeunes filles célibataires, contrôle des horaires se substituant à l’exclusion de l’espace public) soit d’accepter que les femmes puissent gérer leur sexualité en toute liberté.  

  • Baisse de la fécondité.  

Les chiffres déjà exposés dans la partie consacré à l’état de la transition démographique nous informent que la fécondité en Algérie a déjà amorcé une courbe descendante. C’est la conséquences direct du l’élévation du niveau d’instruction de la femme algérienne. En effet,  selon les travaux de nombre de démographes, il existerait une «forte corrélation entre l’instruction et la baisse de la fécondité». L’élévation du niveau d’instruction des femmes influe de différentes façons sur la fécondité, à la fois sur le plan matériel et sur le plan culturel, et il a été clairement mis en évidence que la fécondité des femmes varie à l’inverse de leur niveau d’éducation.

La chute de la fécondité traduit également une modification du rapport homme/femme car les femmes sont désormais maîtresses de leur fécondité et donc de leur corps. Enfin, lorsque cette chute de fécondité (en dessous de 3 enfants par femme) touche des sociétés attachées au principe de primogéniture masculine, elle est le signe d’une mutation fondamentale et d’un abandon des principes traditionnels puisqu’elle signifie qu’une proportion significative de couples renoncent à avoir un garçon. 

  • Emergence de la femme algérienne dans l’espace public. 

L’ordre social traditionnel en Algérie, confine les femmes dans l’espace privé et réserve aux hommes l’espace public. Ce sont les hommes qui subviennent aux besoins de la famille, le travail, le marché, ce sont les hommes qui font la guerre et qui nouent les alliances politiques, économiques ou matrimoniales. Les femmes étaient confiné dans l’espace domestique, privé, ce qui avaient fait d’elles les gardiennes des valeurs traditionnelles et le vecteur principal des us et coutumes. Elles étaient exclu de l’espace public et ne quittaient le domicile familial ou conjugal qu’accompagnées par un tiers dès la puberté et même après le mariage.

La scolarisation massive des filles et l’adoption de la mixité à tous les niveaux du système éducatif algérien ont été des choix allant dans le sens de l’aménagement de l’espace public qui tranchent avec les pratiques héritées de l’ordre social traditionnel où la séparation des sexes structurait l’espace public mais aussi parfois l’espace privé. Pour les filles, la scolarisation est une opportunité pour éviter leur enfermement dans l’espace privé et leur confinement dans les taches domestiques. Il n’est pas exclu que pour un certain nombre de femmes le choix d’une scolarisation longue ait été motivé par le désir d’échapper à un enferment total ou partiel dans le foyer familiale. La prolongation du temps de scolarisation, en intégrant l’enseignement secondaire puis supérieur retarde non seulement l’âge au mariage, mais aussi le moment de limiter la fréquentation autonome de l’espace public. Elle leur permet d’être plus longtemps présente dans des lieux où la mixité est de règle. Le travail des femmes et la recherche d’un emploi en dehors de l’espace domestique ou de l’exploitation familiale découlent des mêmes considérations.  

  • Le travail de la femme. 

Traditionnellement, l’état des mentalités qui prédominait dans la société algérienne était plutôt : « Un travail pour les hommes, le mariage pour les femmes ». La société algérienne traditionnelle est patriarcale et le rôle productif incombe essentiellement à l’homme, le «breadwinner». Cet état de fait a complétement changé avec les transformations sociales, et de plus en plus de femmes occupent un emploi. Par choix d’émancipation ou par contraintes économiques. 

Le développement des besoins de la vie et les errements des conjonctures économiques, peuvent avoir un impact direct sur les équilibres socio-économiques dans les ménages .Le père et mari pourvoyeurs de revenus éprouvent de plus en plus de difficultés à assumer ce rôle soit pour cause de chômage, soit dans le cas où ils occuperaient un emploi pour cause de détérioration du pouvoir d’achat des revenus salariaux. Pour une grande proportion des familles de ce type, le maintien d’un niveau de vie décent exige alors un second revenu: c’est-à-dire que la femme est  contrainte d’occuper un emploi pour subvenir aux besoins de la famille.

Malgré la présence de plus en plus de femme dans le marché du travail, leur nombre reste insuffisant. La faiblesse de l’activité féminine : une réalité statistique Selon les dernières données disponibles, la population active féminine a été estimée en 1998 à près de 1,4 millions soit près de 13 fois plus qu’en 1966.

L’émergence de plus en plus de femmes dans le marche du travail a des implications fortes. En effet l’entrée de la femme dans le domaine du travail accélère le processus de modernisation des sociétés. Les femmes sortent de l’espace domestique et deviennent force de travail, et cette entrée dans la force du travail facilite leur entrée ultérieure dans la sphère politique. 

  • La femme participe à la gestion du foyer familiale 

L’instruction de la femme, son entrée dans le marché du travail et sa participation au fonctionnement de la famille a également changé leur rapport au monde extérieur, avec lequel elles négocient. La femme fait elle-même le marché, un espace traditionnellement très masculin. Elle s’occupe des démarches administratives, amène les enfants à l’école et, surtout, elle sort pour aller voir la famille ou les amies, seule. Les femmes décident, avec leur conjoint, des questions en rapport avec les enfants aussi bien que des questions plus matérielles.

  • Le femme comme acteur politique : 

La lutte des femmes contre les lois et politiques discriminatoires à leur égard s’est engagée dans l’espace privé et en particulier dans la plus profonde intimité de leur corps. C’est, en effet, par la maîtrise de leur fécondité qu’elles ont commencé à résister aux injonctions religieuses et au modèle traditionnel de la famille. Le déclin de la fécondité est la partie essentielle d’un large processus d’émancipation, sa maîtrise, apparaît comme la démonstration de l’exercice de la liberté individuelle  

  • Le voile comme compromis de l’occupation de l’espace public ?

La rue en Algérie est masculine, les femmes qui y sont tolérées sont soit des femmes âgées faisant quelques courses, soit des femmes se rendant à leur travail ou en revenant. La jeune femme, dans la rue, est « excusée » si elle est accompagnée de sa mère, de son père ou de son frère, ou si elle-même accompagne ses enfants à l’école ou chez le médecin. Autrement, une jeune femme seule dans la rue est suspecte ; elle est sortie de son espace « naturel », l’espace familial, l’espace de l’honneur (la “horma”). Donc pour pouvoir être présente dans cet espace, elle doit faire un compromis, une forme d’un contrat tacite ou le voile, ne peut être que la prolongation de cet espace privé, c’est par le voile que la “horma” est sauvegardé. Le voile renvoie à des valeurs qui sauvegardent l’ordre traditionnel, marqué et structuré par la morale religieuse. Une fille voilée, est une fille qui sauvegarde la horma, donc tolérée dans un espace anthropologiquement masculin.

Le hijab a une signification plus sociale que religieuse; il permet de neutraliser l’hostilité de la rue et de désexualiser celle qui le porte. La jeune femme en hijab voudrait être considérée comme un individu social moral et comme une femme qui ne destine pas son sexe au plaisir. La fille utilise le voile donc, comme un contrat tacite avec le patriarche d’abord, père ou frère pour la laisser sortir seule dans la rue et ensuite pour qu’elle ne soit accepté par le masculin de l’espace public, connus (voisin, cousin, collègue à l’école ou au travail) ou anonyme. Une fille sans voile dans la rue est une fille sans horma, n’est plus protégé par la horma de l’espace privé, donc, si elle y est sortie sans voile, c’est que sa famille n’a pas suffisamment d’autorité sur elle et donc c’est une famille à l’honneur douteux, ou bien c’est une famille où il n’y a ni père, ni frères. Le regard porté sur elle dans la rue la réduit à un sexe. Ce n’est donc pas un être humain, ce n’est pas un individu social, c’est un corps, c’est un élément de la civilisation (familiale) qui s’est échappé dans la nature. C’est donc une femme « libre », que l’on peut solliciter sans souiller l’honneur de quelqu’un. 

Elle voudrait que l’homme de la rue la considère comme une femme avec qui il pourrait être marié et avec qui il pourrait avoir des enfants, et non pas comme une femme avec qui il pourrait avoir une aventure sexuelle. Elle voudrait être respectée comme le sont les femmes du lignage dans l’espace familial (sœurs, mères, cousines). Le hijab est la manifestation de la volonté des femmes d’être respectées dans la rue et il n’est pas porté pour Dieu, il est porté pour les hommes. La femme fait appel au religieux, au sacré pour ne pas être réduite à son sexe, et pour neutraliser la fougue des appétits virils masculins qui caractérisent la rue. De ce fait, le hijab est une extension de l’ordre moral familial; il est une modalité d’incursion dans l’espace public, ou encore la modalité par laquelle se construit un espace public où les femmes sont admises. Il est le signe de la volonté des femmes de vivre en société, de dépasser l’horizon familial que leur impose la rue masculine.

  • Femme et sécularisation 

La présence de plus en plus grande des femmes dans l’espace public et leur introduction sur le marché du travail principalement par l’emploi public et l’emploi qualifié pose en filigrane le problème de la redéfinition des rapports hommes femmes; elle soulève la nécessité d’une restructuration profonde des relations au sein de la cellule familiale et dans la société et met à mal l’ordre social et religieux.

Toutes ces transformations et bouleversements renseigne d’une manière plus générale, sur le recul du religieux dans l’organisation du rôle de la femme dans la famille et dans la société. 

 
Références bibliographiques
المراجع الببليوغرافية
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